J'ai bien du mal à croire que cet amour est impossible,

Et pourquoi un cœur ne te fait pas plaisir,

Pour moi ça veut tout définir,

Mais si tu as envie de partir ,

Ce n'est pas moi qui va te retenir,

Tu veux mener une vie came et paisible,

Alors je te laisse tranquille,

Enfin tant que je le peux si c'est possible,

Mais j'écoute toujours ta musique,

Elle est sublime,

Et je revis ce périple ,

Que je garde dans mes souvenirs,

Je pensais m'évanouir,

Mais non tout est encore possible j'imagine,

Je vais jusqu'à me recueillir,

Devant ta photo que tu as dessiné si vite ,

Se fut une agréable surprise,

Mais il faut dire que sans ta présence c'est bien triste,

J'i comme une impression de me noyer ,

Dans un tourbillon qui n'est pas éclairé,

Mais mon cœur est toujours entrain de vibrer ,

Ça me semble insensé ,

Mais pour une fois c'est la réalité……………….

Un mot et un regard et l'on s'éclate,

Mais la vie n'est pas si simple ,

Des pleurs et des larmes,

Et le sort s'acharne,

Et on se désarme,

Contre des humains,

Est-ce l'idéal ?

De suite on baisse les armes,

Et aucune alarme,

Mais je reste debout,

Malgré tout ,

Et je m'obstine sans terme,

Et quand ses torts on les ferme,

Je n'ai plus qu'à me taire ,

Et je ne dois plus céder à tout,

Et je me renferme ,

Et mon cœur est rempli de faiblesse ,

Et je suis en détresse,

Si une personne m'agresse,

Je ne vais pas me mettre en colère,

Mais je ne vais pas me laisser faire,

De ma part ça serait de la maladresse,

Il faut se mettre à l'aise,

Mais si on me soupçonne ,

De quelque chose,

Je ne vais pas le dire à personne,

Car ça m'impressionne ,

Je ne vais pas plaider en son honneur,

S'il pense du mal et doute,

Il est libre mais coûte que coûte ,

Mais je ne vais plus croire en son bonheur,

Car pour moi c'est un déshonneur,

Ou alors il vient de commettre une erreur ,

Et pour lui c'est une véritable horreur,

Il s'en va et sans regarder l'heure ,

Il est vraiment de mauvaise humeur …...

Que faut -il que je fasse,

Que je m'en aille,

J'aille voir autre part,

Mais tu sais que j'angoisse,

Car tes questions me dépassent,

Avec le temps qui passe,

Là je pense que je m'éloigne,

Tu peux regarder en face,

C'est le prix à payer,

Il y a bien une faille,

Mais cet enjeu est de taille,

Je dois effacer les traces,

Et je dois ensuite le libérer ,

Mais c'est de la publicité,

Le mal qui le menace,

Va le décourager,

Alors je vais prendre la place,

Pour lui enseigner,

Un peu de moral,

Car c'est sa seule destiné ,

Ensuite je vais lui pardonner,

Et lui dire de ne plus voir qu'il le fasse,

Ce ne sont pas des menaces,

Mais je vais le prévenir du danger ……..

Vous savez que vous m'éblouissez ,

Avec cette lueur trompeuse ,

Je ne sais pas ce qu'il peut se passer,

L'aurore est radieuse,

Elle d'une beauté merveilleuse ,

Songes tu en ton avenir,

Car il me semble qu'il va fuir,

Et vous allez me dire ,

Que je suis curieuse,

Non mais je vois poindre déjà la nuit,

Votre journée fut difficile,

Il est temps d'aller dormir ,

Comme vous êtes gentil,

Vous vous préoccupez  bien de ma vie,

Oui je suis ambitieux,

Mais pas du tout orgueilleux,

Mais je constate que vous avez des douleurs,

Je ne vais pas gémir,

Et encore moins répandre mes pleurs,

Je garde tout à l'intérieur ,

Je ne fais apparaitre aucun signe extérieur ,

Ça peut nuire à notre bonheur,

Supplice ne me parlez pas de malheur,

Ma jeunesse vous savez elle c'est effacée,

Au fil des années,

Je ne veux plus en attendre parler ,

Je conserve ce voile épais,

Qui pour moi est un signe de paix,

Et puis pour exister et souffrir c'est mon partage,

Et il reste en héritage,

Mais hélas je marche seul dans ce désert immense,

Et j'avance avec toute ma tristesse,

Et également ma détresse ,

Mais cette peine m'accable ,

Mais ce malheur est redoutable,

Nul ne voit cette face,

Car elle se cache ………….

C'est beau d'avoir élu un domicile vivant,

Et de loger dedans au si souvent ,

De ne pas se sentir exclu ,

Et d'y aller continuellement ,

Et d'avoir vu se construire paisiblement,

Et de voir ses mains ,

Se poser sur le monde ,

Comme sur une pomme ,

Dans un petit jardin,

Qu'on peut cueillir chaque matin,

Sans devoir se soucier du lendemain ,

Et d'aimer cette terre ,

La lune est le soleil,

Et qui n'ont pas leurs pareils,

Comme des familiers ,

Qui nous sont confiés ,

Le monde a bien sa mémoire ,

Comme un clair cavalier ,

À sa monture noire ,

Et d'avoir pu donner un visage ,

À ces mots de femmes et d'enfants ,

Et à d'errants continents ,

Et d'avoir atteint l'âme ,

À petits coups de rame,

N'en faisons pas un drame,

Par le biais de ce rivage ,

Pour ne pas l'effaroucher ,

D'un brusque qui puisse s'en emparer ,

C'est beau d'avoir connu ,

L'ombre sous le feuillage ,

Et d'avoir senti l'âge ,

Ramper sur ce corps à moitié nu ,

Qui est accompagné de la peine ,

Et également de cette misère,

Qui coulent dans leurs veines ,

Et par la suite doré son silence,

Au cœur de la patience ,

Et d'avoir tous ces mots ,

Qui bougent dans la tête,

Et d'en choisir les plus beaux ,

Pour en faire une fête ,

Et d'avoir pu sentir cette vie ,

Qui est hâtive et mal aimée ,

De l'avoir pu l'enfermer ,

Dans cette page de poésie ,

Nous pouvons lui dire merci ,

Et même lui faire un sourire,

Car la vie ne tient vraiment qu'a un fil ,

Et qu'a tout moment ce fil peut se casser ,

Et vous allez pouvoir tout oublier ,

Comme c'est triste de se sentir abandonner …………..